Par Julien Clamence
Le paradoxe qui travaille l’imagination de tous les hommes et les femmes de gauche du XXIème peut être résumé de la manière suivante : pourquoi le peuple ne se révolte-t-il pas et comment faire advenir un mouvement social et révolutionnaire global ? On ne peut pas nier l’apathie politique et le manque d’intérêt du citoyen lambda pour son avenir et celui de sa société.
Par Guillaume Davranche (AL Paris-Sud)
Qu’entend-on exactement par « lutte des classes » ? La formule conserve une forte puissance évocatrice. Mais chacune et chacun y met un peu ce qu’il veut.
Par Nico ( AL Marseille)
La crise de 1929 amena le capitalisme au bord du gouffre. On vit pleuvoir les financiers qui se jetèrent en nombre par les fenêtres des grands buildings new-yorkais. Des millions de gens perdirent leur travail, leur maison, bref, tout.
Par San vincente (AL Bruxelles)
Qui se révolterait contre son reflet dans un miroir ? La question peut sembler stupide pourtant c’est vers la résolution de celle-ci que nous pousse les nouvelles formes d’organisations du travail, elles placent le prolétariat face à ses propres limites en tant que classe.
Autrefois, sous l’organisation du travail de type Tayloriste, l’usine mettait l’ouvrier face à un ennemi de classe facilement identifiable.
[vimeo http://vimeo.com/54225605]
par San vincente (AL Bruxelles)
Fonder une nouvelle banque populaire qui serait au service de notre « économie réelle ». Une banque qui investirait dans des projets écologiques et locaux. Une banque dont les gestionnaires ne seraient pas de pompeux individus en costards avides de faire des profits avec l’argent que les quidams leur confient.
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