par Arthur (commission internationale d’AL)
L’annonce
par Trump du retrait des troupes US et l’assentiment tacite par Poutine
aux projets d’invasion d’Erdogan ont tonné comme un coup de semonce
dans le ciel du nord de la Syrie.
Ces nouvelles données annoncent la fin d’un accord tactique entre les forces révolutionnaires du nord de la Syrie et le soutien intéressé qu’ont pu leur apporter une partie des acteurs internationaux (Russie, France et États-Unis).
Alternative libertaire, le 23 décembre 2018
Après Poutine en janvier, c’est Trump qui lâche la bride à Erdoğan. Il n’y a désormais plus d’obstacle à une invasion du Rojava/Fédération démocratique de Syrie du Nord par l’armée turque. Bachar el Assad se réjouit de l’affaiblissement de cette région qui promeut un modèle démocratique radicalement opposé au sien.
Pierre (CGA Grenoble)
Le gouvernement turc mène depuis 2016 une lutte contre les mouvements progressistes, avec l’aide des religieux et des nationalistes. Face aux purges et aux attaques, les militantes et militants anarchistes turcs tentent de s’organiser pour la révolution sociale.
Le gouvernement turc mène depuis 2016 une lutte contre les mouvements progressistes, avec l’aide des religieux et des nationalistes.
Hervé (AL Marseille)
La prise de pouvoir de Donald Trump bouscule les équilibres en Irak et en Syrie. Les États-Unis entendent bien défendre leurs intérêts, et la défaite prochaine de l’État islamique ne fera donc pas cesser les hostilités.
L’arrivée d’un nouveau locataire à la Maison Blanche est toujours un évènement pour le Moyen-Orient, tant la destinée de cette région est influencée par l’impérialisme américain.
Par Stef et Lulu (AL Nantes)
À l’occasion de sa venue sur Nantes, des camarades d’Alternative libertaire de Nantes l’ont rencontré l’auteur de Kobanê Calling, Zerocalcare (voir Alternative libertaire d’octobre 2016).
Alternative libertaire : Qu’est-ce qui t’a motivé à t’intéresser au Kurdistan et en particulier au Rojava ?
Zerocalcare : À l’âge de 16 ans, j’ai commencé à m’intéresser à la politique, et notamment à participer aux activités des centres sociaux italien [1], à Rome en particulier.
Cette interview a été réalisée en août 2016 par un volontaire du bataillon international des YPG, toujours présent au Rojava et publiée en septembre de la même année sur le site de l’organisation Plan C. La traduction, les précisions entre crochet ([…]) et la note en fin d’article sont de Julien Clamence.
Un nombre croissant de volontaires internationaux rejoignent les Unités de Protections du Peuple (YPG) syriennes dans leur combat contre Daesh.
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