Category Précarité
Article écrit et publié par le Réseau Bruxelles Solidarité sur leur site. Ce Réseau se définit ainsi : « Nous sommes un réseau de soutien mutuel entièrement bénévole, ouvert aux locataires, avec ou sans logement et aux travailleur·euse·s avec ou sans… Continue Reading →
par Angry Workers of the World
Une partie de la gauche radicale considère la revendication d’un revenu de base universel comme un instrument pour :
“faire réfléchir les gens” aux possibilités productives et à la distribution de la richesse dans le régime capitaliste ;
unifier autour d’une demande commune une classe ouvrière fragmentée et atomisée.
Nous ne pensons pas que cette revendication soit utile, pour les raisons suivantes :
Le point de départ est problématique.
Par Donaldo et Lombardi (AL BXL)
Le temps est révolu où un diplôme universitaire garantissait le décrochage d’un emploi stable. Pour un bon nombre de jeunes diplômé-e-s, la bataille sur le marché du travail commence par un stage, suivi d’un CDD, puis un job intérim, sans oublier le chômage entre deux, puis de nouveau un intérim …
Par Mancur Olson, des Free Riders
Depuis quelques jours, la faillite de Take Eat Easy (TEE) fait les choux gras de la grande presse. Après avoir fait l’apologie de cette nouvelle économie collaborative, les fonctionnaires de l’information du capital se retrouvent encore une fois surpris par un échec qui n’était pourtant pas si difficile à prédire.
Par Adeline DL (AL Paris-Nord-Est)
On trouve aux États-Unis des exemples de pratiques syndicales alternatives qui permettent l’entrée en action de travailleuses et travailleurs à qui les outils syndicaux classiques sont moins accessibles.
Mancur Olson, des Free Riders
Si vous vivez dans une grande ville, pardon une métropole, vous avez peut-être croisé de jeunes cyclistes habillés de vert et chargés de caisses de nourriture… ce sont les coursiers et coursières de Take Eat Easy, entreprise emblématique du capitalisme sauvage… Voici une analyse de l’intérieur du système.
Take Eat Easy (TEE) est une start-up belge qui a vu le jour il y a trois ans « grâce à » de jeunes loups sortis d’une