Ecologie radicale : Attaquer le mal à la racine

Par Jocelyn (AL Gard)

"Certains partisans de l’écologie profonde ont en effet tendance à idéaliser une nature vierge et pure que l’homme parasiterait, allant jusqu’à se réjouir des famines ou de l’épidémie de sida qui sévissent alors en Afrique. Ils s’attirent les ­foudres des partisans d’une écologie sociale, développée par Murray Bookchin et de tendance libertaire, qui martèlent que le problème n’est pas l’homme, mais l’organisation sociale des société humaines."
« Certains partisans de l’écologie profonde ont en effet tendance à idéaliser une nature vierge et pure que l’homme parasiterait, allant jusqu’à se réjouir des famines ou de l’épidémie de sida qui sévissent alors en Afrique. Ils s’attirent les ­foudres des partisans d’une écologie sociale, développée par Murray Bookchin et de tendance libertaire, qui martèlent que le problème n’est pas l’homme, mais l’organisation sociale des société humaines. »

Face à la crise écologique majeure qui sévit déjà, l’écologie d’accompagnement du système, visant à poser quelques rustines sur les problèmes les plus voyants, n’est pas suffisante. Une écologie radicale, proposant une autre organisation de la société, est plus que jamais nécessaire.

L’époque actuelle est caractérisée par une incertitude écologique majeure. Avec le réchauffement climatique, l’épuisement global des ressources en énergies fossiles et en métaux [1] , la destruction des sols liée à l’agriculture intensive et à l’urbanisation croissante, la pollution et la diminution des réserves en eau douce, la destruction accélérée de la biodiversité, entre autres réjouissances, ce sont bien les conditions de (sur)vie de l’humanité et de milliers d’espèces qui sont gravement menacées.

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