Par Auréline (AL Toulouse)
La plainte pour harcèlement sexuel à l’encontre d’Éric Raoult, dénoncé par sa collaboratrice, a remis sur le tapis le sujet du sexisme ambiant, que ce soit au travail, à l’université ou dans la rue.
Depuis le 5 juin, les salarié-es du Métro de São Paulo sont en grève reconductible.
Par Renaud (AL Alsace)
1. De la Commune écrasée à la Commune glorifiée
[caption id="attachment_899" align="alignleft" width="300"] « Le cadavre est à terre, mais l’idée est debout. » Vive la commune de Paris ! » AFA Paris-Banlieue[/caption]
Après 72 jours de lutte et de rénovation sociale, la Commune de Paris expire le 28 mai 1871 au terme d’une semaine de déchaînement militaire qui laissa entre 20 000 et 30 000 morts, d’où son surnom de « semaine sanglante ».
Venu des catacombes grecques de l’Europe, un murmure traverse le continent dévasté : « Ne vivons plus comme des esclaves » (prononcer « Na mi zisoumé san douli » en grec).
Par Patrice Spadoni
L’hypothèse de Daniel Guérin, celle d’une synthèse à venir de l’anarchisme et du marxisme, trouve précisément aujourd’hui, dix ans après sa mort, de bonnes et de nouvelles raisons pour être réexaminée.
Par Wil (AL Paris-Nord-Est)
Le principal reproche que l’on peut adresser aux « réformistes » ne vise pas la modestie de leurs revendications. La contestation du réformisme réside dans l’affirmation de son caractère illusoire et fondamentalement irréaliste dans la conjoncture de crise du capitalisme.
Ce qui fonde un positionnement révolutionnaire, c’est la reconnaissance de l’impossibilité de réformes durables dans un sens favorable au grand nombre. Cette impossibilité n’est pas « politique ».
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