Par Nicolas Pasadena (commission antiraciste)
[caption id="attachment_803" align="alignleft" width="300"] Semaine Anticoloniale 2013 : manif du 2 mars[/caption]
Comment peut-on être de « gauche » et justifier la politique raciste menée par ce gouvernement ? Si les arguments nationalistes et identitaires simplistes sont facilement mobilisables à droite, à gauche, il s’agit plutôt de faire appel aux grands combats émancipateurs, menacés par l’envahisseur immigré !
Comme le mandat de Hollande nous le rappelle bien, la gauche n’est pas antiraciste par nature.
Par SAT – Syndicat Autonome des Travailleurs [ Traduction : XYZ / OCLibertaire ]
Le renversement du régime autoritaire de Ianoukovitch ne signifie nullement, pour nous, la fin de notre combat. Les nouveaux dictateurs s’empressent de prendre la place du Parti des Régions. Ils n’hésiteront à s’appuyer non seulement sur les agences de sécurité considérablement affaiblies, mais aussi sur les militants d’extrême droite.
Par Mario Lafaye (CAL BXL)
Dans deux mois un grand événement politique va survenir en Belgique. Il s’agit bien sûr des élections de Mai 2014 qui se dérouleront à presque tous les échelons de pouvoir de notre pays (fédérales et régionales) ainsi qu’au niveau Européen. Celles-ci auront lieu dans un contexte de crise économique, d’austérité, de destruction de notre sécurité sociale (synonyme d’attaques contre le prolétariat) et de conflits sociaux de plus en plus tendus.
Par Julien Clamence
Comment s’est constitué le mouvement ouvrier ? Voilà une question fondamentale et que chaque révolutionnaire finit immanquablement par se poser. En effet, nos oligarchies libérales, aussi terriblement inégalitaires soient-elles, sont le produit d’une lutte, parfois très violente, entre les différentes élites qui alternent au sommet des États et le mouvement ouvrier qui en constituait les bases.
Le 8 mars 2014 au soir, plusieurs personnes ont été attaquées dans le centre de Malmö par des membres du parti fasciste Svenskarnas (le Parti des Suédois).
Par Catherine Lebrun, Christian Mahieux
Nationalisation, privatisation, socialisation, autogestion… Le syndicalisme ne peut pas faire l’économie d’approfondir ces questions car elles sont au cœur de tout projet de transformation sociale radicale.
Au-delà des positions de principe de lutte contre le système capitaliste, les réponses et les stratégies alternatives à construire doivent prendre la mesure de l’évolution du capitalisme et des conditions concrètes dans lesquelles se mènent la lutte des classes.
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