Par Wil (AL Paris-Nord-Est)
Le principal reproche que l’on peut adresser aux « réformistes » ne vise pas la modestie de leurs revendications. La contestation du réformisme réside dans l’affirmation de son caractère illusoire et fondamentalement irréaliste dans la conjoncture de crise du capitalisme.
Ce qui fonde un positionnement révolutionnaire, c’est la reconnaissance de l’impossibilité de réformes durables dans un sens favorable au grand nombre. Cette impossibilité n’est pas « politique ».
Par Daniel Guérin
Notre dette à l’égard de Michel Bakounine est multiple. Mais il en est une qui l’emporte sur toutes les autres. Les communistes libertaires de la fin du XXè siècle lui doivent surtout, bien au-delà de ses polémiques avec Marx, les dépassant à larges enjambées, d’avoir lu dans un avenir bien plus lointain ce que sera un jour le bolchevisme.
Par Florian (AL Paris Sud)
L’évocation du Black Panther Party réveille bien souvent des sentiments contradictoires parmi les révolutionnaires, entre fascination et circonspection.
Par David Berry, historien (université de Loughborough)
Historien engagé, socialiste révolutionnaire (marxiste et libertaire), anticolonialiste, antifasciste, antiraciste, antimilitariste, militant de l’émancipation homosexuelle… Il n’est pas aisé de résumer en quelques mots la contribution intellectuelle et militante de Daniel Guérin au mouvement révolutionnaire, telle a été la diversité de ses engagements pendant plus d’un demi siècle.
Né le 19 mai 1904, Daniel Guérin sera de tous les combats, jouant souvent un rôle de pionnier.
Par Miguel Chueca
D’où vient le drapeau rouge et noir, emblème du communisme libertaire et de l’anarcho-syndicalisme ? Il semble que les sources soient multiples puisqu’on en relève les premières utilisations, à des époques différentes, en Italie, en France et en Espagne, sans qu’un lien puisse être établi entre ces différentes apparitions.
Par Nicolas Pasadena (commission antiraciste)
[caption id="attachment_803" align="alignleft" width="300"] Semaine Anticoloniale 2013 : manif du 2 mars[/caption]
Comment peut-on être de « gauche » et justifier la politique raciste menée par ce gouvernement ? Si les arguments nationalistes et identitaires simplistes sont facilement mobilisables à droite, à gauche, il s’agit plutôt de faire appel aux grands combats émancipateurs, menacés par l’envahisseur immigré !
Comme le mandat de Hollande nous le rappelle bien, la gauche n’est pas antiraciste par nature.
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