Par Julien Clamence (AL Bruxelles)
Le mouvement libertaire belge souffre d’un déficit de transmission de la tradition militante. Après le premier volet le mois dernier, la suite du long article d’ un membre du collectif Alternative libertaire Bruxelles.
En plus de souffrir d’un environnement politique hostile, les anarchistes belges sont confrontés à un vide mémoriel. Chaque génération doit plus ou moins recommencer à zéro, sans bénéficier des conseils et du legs des la génération précédente.
Par Julien Clamence (AL Bruxelles)
Erratum : Contrairement à ce qu’il est annoncé dans le Mensuel d’AL France, il ne s’agit pas d’un article collectif mais d’une analyse écrite à titre individuelle.
Intervention d’un militant anarchiste lors du meeting « L’anarchisme d’hier à aujourd’hui », mercredi 16 novembre 2016 organisé par les Jeunesses Libertaires à l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
L’anarchie a toujours eu mauvaise presse – on présente les anarchistes comme des poseurs de bombe cagoulé qui désirent imposer le chaos et la destruction. En réalité l’anarchie est bien plus que ça. C’est un courant de pensée aussi vieux que le socialisme ou le communisme.
Matthijs (AL Montpellier)
En novembre 2014, les éditions Libertalia ressortaient une nouvelle édition de Fascisme et grand capital de Daniel Guérin. Cet ouvrage, classique, n’avait plus été réédité depuis dix ans. Cette édition qui fait suite à celles de Maspéro et de Syllepse, est la plus complète à ce jour.
Hourya (AL Tarn)
Les « femmes » ne forment pas une classe homogène. Au sein des femmes il existe des expériences vécues différentes de la domination selon que l’on soit blanche ou racisée. Le féminisme décolonial entend prendre en compte la spécificité de l’oppression des femmes racisées dans leur lutte.
La postcolonialité désigne la manière dont les anciennes sociétés coloniales ont été façonnées par l’esclavage, la colonisation et les discriminations raciales.
Caterpillar, ING, nouvelles mesures d’austérité gouvernementale… un drame social éclate tous les mois en Belgique. Face à cela, le flot du discours politique et médiatique se déverse dans le néant et « la gauche » semble bien impuissante.
L’opposition social-libérale promet les quatre jours de travail semaine et la co-décision dans les entreprises après avoir voté l’exclusion des chômeurs et la privatisation des services publics.
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