Category économie

Frédéric Lordon, de République à Nation

Par Benoit (AL Montpellier) pour Le Pressoir

[caption id="attachment_1920" align="alignleft" width="223"] Commons Wikipedia[/caption]
Frédéric Lordon, né en 1962, est un économiste et philosophe français. Il semble qu’il se soit imposé, à Paris, comme l’un des inspirateurs, sur le plan théorique, du mouvement des Nuits Debout. Il se présente comme un intellectuel engagé, proche du peuple et des travailleurs exploités.

La loi travail, ultime stade de la crise capitaliste

Flo (AL Marne)
En Belgique comme en France, les mesures défendues le gouvernement s’inscrivent dans un long processus de mesures néolibérales visant à accroître les profits, diminuer les salaires et saper la protection sociale. Cette volonté de profit s’inscrit dans le contexte d’un capitalisme en crise, dont les solutions palliatives ont démontré leurs limites.

E-travail : l’uberisation une nouvelle ère d’exploitation

Par Marco (AL Paris nord-est)

[caption id="attachment_1620" align="alignleft" width="216"] Le Turc mécanique d’Amazon.[/caption]
Des ingénieurs délocalisés des grandes firmes d’Internet aux petites mains payées à la pièce, le monde du numérique offre de nouvelles opportunités aux capitalistes pour se faire de l’argent sur le dos des travailleurs en contournant les lois de protection des salarié-e-s en vigueur sur les territoires.
Vous êtes vous déjà demandé comment des plateformes Internet offrant avant tout du contenu produit par les utilisateurs (Facebook

L’hypothèse grecque. Sur les luttes, les alternatives et le dégouvernement

Par Organisation Socialiste Libertaire – Lausanne – Février 2015
SYRIZA cherche un chemin pour satisfaire, au moins en partie, aux revendications qui l’ont porté au pouvoir et pour desserrer l’étreinte de la dette sur la Grèce.

Mondial de foot : Carton rouge pour l’État brésilien !

Depuis le 5 juin, les salarié-es du Métro de São Paulo sont en grève reconductible.

Point de vue : Crise du capitalisme et fausses solutions

Par Wil (AL Paris-Nord-Est)
Le principal reproche que l’on peut adresser aux « réformistes » ne vise pas la modestie de leurs revendications. La contestation du réformisme réside dans l’affirmation de son caractère illusoire et fondamentalement irréaliste dans la conjoncture de crise du capitalisme.
Ce qui fonde un positionnement révolutionnaire, c’est la reconnaissance de l’impossibilité de réformes durables dans un sens favorable au grand nombre. Cette impossibilité n’est pas « politique ».

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